Le mois de Mai chez les grands.

Comme chaque fin de mois voici notre compte-rendu dicté par les enfants sur une seule séance. Bonne lecture à toutes et tous.

 

Pour la fête des mamans nous avons fait un collier avec de la pâte qui durcit, un anneau, un morceau de paille et une fleur en plastique fou. Et une carte où nous avons utilisé du fil et une aiguille pour faire un cœur : c’était pas très facile… Nous avons aussi appris une belle poésie et nous l’avons dite à notre maman avant de lui donner notre enveloppe. Quand nous avons donné nos cadeaux, les mamans ont pleuré de joie.

 

Nous avons vu un spectacle Kim et Nina et nous avons parlé des pays qu’ils ont visités : le Japon, le Congo, Cuba, la Thaïlande.

 

En classe nous avons fait des phrases sur le Japon et nous essayons d’écrire notre prénom en japonais. Il faut utiliser un pinceau et de l’encre, ça s’appelle de la calligraphie.

Nous continuons à danser avec Myriam et bientôt les parents viendront nous voir danser : ce sera bien !

Nous avons exposé nos deux tableaux sur l’Afrique à la salle des fêtes et nous sommes allés visiter l’exposition. Nous avons vu des sculptures : nous avons adoré le cheval et le requin marteau, des tableaux : des paysages, des nus, des natures mortes et des portraits.

A la fin chacun a dessiné son tableau préféré mais on n’a pas tous eu le temps de finir car c’était l’heure de rentrer à l’école.

Les CP sont venus : nous leur avons raconté avec notre maquette « la chasse au caribou » et ils ont beaucoup aimé. Ensuite nous avons joué à « loupé le loup » et toutes les équipes ont gagné contre le loup ! C’était très très bien de voir les CP et la prochaine fois c’est nous qui irons les voir à pieds : on espère qu’il ne pleuvra pas car les CP eux sont repartis sous la pluie !

Maintenant nous savons écrire presque toutes les lettres en attaché. Et nous nous entraînons à écrire tout seul sans modèle des syllabes, des petits mots et parfois des grands mots pour ceux qui y arrivent bien : c’est pour être prêts pour aller au CP.

Nos phrases sur le cahier d’écrivain sont de plus en plus longues parce qu’on a de plus en plus de mots dans la boîte.

Le matin on joue aussi avec un boulier pour bien apprendre à compter et décomposer les nombres.

 

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